Introduction

Première partie

Deuxième partie

Conclusion

Quizz "biodiversité"

Bibliographie

 
  • Introduction
  • 1ère partie
  •  

  • Ressources
  •  

  • Médecine
  • 2ème partie
  •  

  • Expériences
  •  

          D. Tilman

     

          BIODEPTH

     

  • Fonctionnalité
  • Conclusion
  •  

    réponses

    1. Réponse 2 :
      Ces algues vertes se développent sur les côtes nord-bretonnes et envahissent les champs de moules alentour. Autre exemple d'algue parasite : la “Caulerpa taxifolia“ qui, en 1984, s’échappait de l’aquarium de Monaco et parasitait le premier mètre carré de la mer Méditerranée. Aujourd’hui, celle-ci occupe plus de 13 000 hectares, disséminée, ici ou là, par l’activité humaine, et menace sérieusement la biodiversité méditerranéenne. L’introduction d’espèces étrangères dans un écosystème est l’une des causes de la disparition d’espèces locales.



    2. Réponse 1 :
      Les dinosaures ont disparu, il y a environ 60 millions d’années. Au cours des dernières 500 millions d’années, de telles extinctions massives ont eu lieu à plusieurs reprises. À chaque fois, la diversité perdue a mis des millions d’années pour être “ compensée ” par l’évolution. Or, les extinctions provoquées par l’Homme ont lieu à un rythme 100 à 1000 fois plus rapide que les extinctions naturelles : l’évolution n’a pas le temps d’agir.



    3. Réponse 3 :
      Coquelicots des champs, baobabs, éléphants de mer, crevettes, hommes… la diversité des êtres vivants dans la nature est immense. Les chercheurs spécialistes en taxonomie, les taxonomistes, interprètent cette diversité et classent les êtres vivants en identifiant leurs particularités, leurs caractères propres, et en établissant les liens qui unissent les espèces à travers l’évolution.



    4. Réponse 2 :
      Bien que les milieux tropicaux comptent parmi les écosystèmes les plus riches de la planète, les régions tempérées possèdent également des variétés d’espèces et de paysages souvent insoupçonnées. Le réseau Natura 2000 met en relation plusieurs milliers de sites protégés sur l’ensemble du territoire européen (autres que les parcs nationaux), et a pour vocation d’y préserver la biodiversité locale.



    5. Réponse 1 :
      Pour rendre l’agriculture encore plus productive, l’homme améliore sans cesse les variétés qu’il cultive, en sélectionnant les plus résistantes, les plus généreuses... Il crée ainsi de la biodiversité, mais défavorise parallèlement les variétés les plus fragiles, qui disparaissent en emportant avec elles la richesse de leur patrimoine génétique. Ce phénomène pernicieux est appelé l’érosion génétique.



    6. Réponse 1 :
      Certaines plantes des pays du Sud, comme le quinoa, sont modifiées génétiquement aux USA pour gagner en productivité. Les petits agriculteurs, pour rester concurrentiels, sont contraints d’exploiter ces OGM, souvent brevetés par les pays du Nord. Ils doivent alors payer des droits pour les utiliser. Ce système bloque donc le marché au profit des pays développés et accentue le fossé économique avec les pays du Sud.



    7. Réponse 1 :
      En Guyane française, près de 30 espèces de chauves-souris ont une alimentation à base de fruits. Elles participent ainsi à la dissémination de graines, donc à la régénération de la forêt. Les espèces disséminant des graines ou du pollen (comme les abeilles) font partie des “ espèces-clés ” car de leur survie dépendent de nombreuses autres espèces : sans elles, l’écosystème est en danger.



    8. Réponse 1 :
      Et oui il existe plus de 11 000 variétés de pommes dans le monde ! Or, on n’en cultive qu’une dizaine de variétés, les plus résistantes ou les plus rentables, et qui sont vendues dans le commerce. Pour protéger les autres variétés de la disparition, on conserve leurs graines chez des pépiniéristes, dans des vergers, ou certains musées qui jouent le rôle de « banque de graines ».



    9. Réponse 2 :
      Les limules ont survécu pendant plus de 520 millions d'années aux changements de la nature. L’Homme pourtant a bien failli faire disparaître l’espèce qui a été pêchée intensivement. Ce sont les propriétés de son sang qui l’ont sauvé – de couleur bleue, il coagule en présence de certaines bactéries, servant ainsi d’indicateur coloré dans de nombreux tests médicaux.



    10. Réponse 3 :
      Le lac Titicaca constitue un écosystème exceptionnel : isolé sur les hauts plateaux de Bolivie, il ne débouche sur aucun cours d'eau et est associé à une flore et une faune spécifiques (endémiques). On voit ici des plantes appelées « totoras », utilisées pour la fabrication des embarcations traditionnelles et comme fourrage pour les bovins. C'est un exemple d'exploitation durable des ressources naturelles par les populations locales.
     
    Des questions sur le fond ou la forme de ce site : Martin Le Blevennec